NOTES
Mais sans le prendre à son compte, loin de là. A l'article DANTE du Dictionnaire de Chaudon et Delandine: « [...] Cette Divine Comédie, que quelques Italiens ont regardée comme un beau poëme épique, n'est, suivant divers critiques François, qu'un beau Salmigondis; Dante trouve d'abord à l'entrée de l'enfer un lion et une louve [...]. » La suite de l'article, presque entièrement tirée de Rivarol, admire le génie de Dante et Hugo s'en est servi en I, 2, 2, 11.